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Me Concernant

QUI JE SUIS !

Humaniste, elle rêve d’un monde meilleur et va essayer de transmettre à travers ses œuvres un message de tolérance et de révolte contre toutes les injustices du monde.

Sarah, Sabine, Sylvia Metoudi est née le 3 février 1949 à Paris. Elle étudie la décoration et devient l’une des décoratrice de magasins les plus connues de la capitale, pendant de longues années. Avide de découvertes et d’expériences nouvelles, elle s’associe dans un cabinet d’architecture et travaille en collaboration à la réalisation de salles de bain; elle dessine des motifs judaïca pour des nappes et des dessus de shabbat qu’elle fera broder à la main à Madagascar où elle séjournera un moment avec ses associés.
Quelques années plus tard, en collaboration avec Richard Darmon, redacteur en chef et Daniel Haik, Journaliste à Jérusalem, elle sera la correspondante à Paris et participera à lancer les abonnement de l’édition française du Jerusalem Post en France et en Europe… Elle fera de nombreux allers et retours entre Jérusalem et Paris…

A Paris, elle ouvre une brocante dans le Marais où elle installe également son atelier.
Toujours insatisfaite par sa vie en France, elle rêve en permanence d’Israël où elle espère vivre.
Elle arrête ses activités en espérant faire son Alya mais sa famille ne partageant pas ce projet dans l’immédiat, elle renonce momentanément à cette décision et pour combler son ennui, décide de prendre des cours de sculpture dans un atelier libre de Monique Silesky qui a vécu dans un kibboutz. N’ayant pas l’impression de progresser assez rapidement dans cet art, elle se dirige dans un autre atelier celui d’Elizabeth Cibot, diplômée des Beaux Arts et reconnue comme sculpteur français. Elle étudie de nombreuses techniques, travaille avec des modèles vivants. Elle organise en même temps un cours de peinture dans son atelier avec comme professeur un peintre israélien Shimon Palombo, également diplômé des Beaux Arts qui lui apprendra de nouvelles techniques.Lire plus

Le goût de l’inconnu, du risque, de l’interdit si excitant, la curiosité des choses me semble indispensable au bonheur absolu.

Je suis dans un état permanent de conflit avec moi-même, partagée entre la liberté qui m’habite depuis toujours qui est extrêmement forte dans ma vie.
La liberté importante en soi, que l’on ressent au plus profond de soi-même, pas celle que l’on revendique en permanence et qui reste superficielle.

Le goût de l’inconnu, du risque, de l’interdit si excitant, la curiosité des choses, la recherche permanente du petit quelque chose en plus qui nous éloigne de la routine qui nous manque toujours, et qui semble indispensable au bonheur absolu.

De l’autre côté, la religion avec sa rigueur, ce besoin permanent de contrôle qu’elle-nous impose et qui nous permet toujours de connaitre nos limites dans nos actes, nos pensées…
Même si nous ne vivons pas en accord avec cette philosophie, nous sommes toujours dans un état psychologique de mauvaise conscience et de réflexion sur nous-même. Je me sens construite à travers ces influences et cela me permet de me métamorphoser et d’avoir des repaires.

S.Sarah

J’aime à rêver un monde meilleur où les êtres pourraient enfin vivre ensembles avec leur différence, leur culture, leur religion.
Quelle utopie! mais je rêve et il faut croire aux choses pour qu’elles se réalisent.

La pensée vers l’autre, un sentiment qui m’a toujours habité et qui me comble de joie intérieure, lorsque je peux en abuser. Donner, partager, font partie intégrante de ma vie, de ma personnalité et de mon quotidien. Je ne peux m’imaginer autrement. Chacune de mes pensées et de mes actes sont liés à cette réalité. Regarder l’autre l’assister, si besoin est, et surtout l’amener à croire à la vie à quelque chose de positif, à l’élever.

Ne pas l’aider que matériellement mais moralement à lui faire prendre conscience de sa valeur, de ce qu’il représente, de l’efforcer à s’accepter tel qu’il est.
La pensée de gagner un gain reste un rêve à qui cela sera destiné. Pas une fois l’utiliser pour moi-meme ne me vient à l’esprit.

J’aime à rêver un monde meilleur où les êtres pourraient enfin vivre ensembles avec leur différence, leur culture, leur coutume, leur religion.
Quelle utopie! mais je rêve et il faut croire aux choses pour qu’elles se réalisent.
De nos jours, est encore trop présent le regard de l’autre face à la différence. Les handicapés par exemple doivent toujours affronter ces humiliations. La mentalité de l’homme doit changer et c’est le devoir de chacun de nous, de faire en sorte que les esprits évoluent à savoir faire accepter et accepter les différences sous toutes leurs formes. Essayer de comprendre que souvent la différence peut être une richesse de plus. Alors nous aurons fait un grand pas vers la paix et l’amour de l’autre et cela ne pourra que nous rendre plus heureux.

S.Sarah

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